Francis Cabrel

^A Tu voudrais qu'elle t'aime
T'as changé tes manières
Tu prends des allures mondaines
Tu racontes seul'ment tes voyages en pre ^F#mi mière
En premi ^A 2;re
Tu veux qu'elle t'estime
Tu sors tes plus belles lectures
T'as vu des centaines de films
T'expliques d'où viennent ces tapis sur le mur
Et ^A y'a une heure où va ^B7sus retentir ^D le signal

Tu voudrais qu'elle rêve
Tu gardes le petit doigt en l'air
Tu parles de décalages horaires
De plages blanches à l'autre bout de la terre
De la terre
Ou pourquoi pas Venise
Quand les fontaines s'allument
En dessous des lumières grises
On pourrait danser sur le bord des lagunes
Des lagunes

Et ^A y'a une heure où va ^B7sus retentir ^D le signal
^A Un moment où tu va t'se ^B11 ntir animal
Animal, ^D animal, animal
^Esus Animal, ani ^A mal
Celui qui ^F attend sous le déluge
Qui couche contre la porte
^G Celui qui crie, qui hurle jusqu'à ce que tu sortes
Qui ^F7 t'aime dans la voiture
Qui court quand tu appelles
Qui ^G pleure, qui pleure, qui pleure
Oh mon Dieu que les femmes sont ^F belles
Oh mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu ^G7sus
G Oh que les femmes sont
^A Tu v ^A7 oudra ^A6 is qu ^A 'ell ^A7 e dan ^D/F# , ^E se
Qu'y ait des fleurs partout par terre
Et dans le grand silence
Tu te sens capable de marcher sur la mer
Sur la mer
Tu voudrais qu'elle t'aime
Tu sors tes plus belles lectures
Et t'en oublies certaines
Comme ces filles à plat posées sur tes murs
Sur tes murs
Et y'a une heure où va retentir le signal
Un moment où tu va t'sentir animal
Animal, animal, animal
Animal, animal
^A Animal
Le si ^F#mi gnal, le signal
Ani ^A mal ^F#mi , ^A , ^F#mi , ^A