Il y a si peu de temps,
Entre vivre et mourir,
Qu'il faudrait bien pourtant,
S'arrêter de courir,
Toi que j'ai souvent cherché,
A travers d'autres regards,
Et si l'on s'était trouvés,
Et qu'il ne soit pas trop tard,
Pour le temps qui me reste à vivre,
Stopperais-tu ta vie ivre,
Pour pouvoir vivre avec moi,
Sur ton île aux mimosas,
Et comme deux chevaux,
Courant dans la prairie,
Et comme deux oiseaux,
Volant vers l'infini,
Et comme deux ruisseaux,
Cherchant le même lit,
Nous irions dans le temps,
Droits comme des roseaux,
Quand sous le poids des ans,
Nous courberions le dos,
Ce serait pour mieux boire,
Ensemble à la même eau,
Et si tu m'avais cherchée,
De soir en soir, de bar en bar,
Imagine que tu m'aies trouvée,
Et qu'il ne soit pas trop tard,
Pour le temps qu'il me reste à vivre,
J'amarrerais mon piano ivre,
Pour pouvoir vivre avec toi,
Sur ton île aux mimosas,
Nous aurions la fierté,
Des tours de cathédrales,
Et nous serions plus près,
Du ciel et des étoiles,
Nous saurions le secret,
Des aurores boréales,
Il y a si peu de temps,
Entre vivre et mourir,
Qu'il faudrait bien pourtant,
S'arrêter de courir,
Et prendre un peu de temps,
De voir les fleurs s'ouvrir,
De voir les fleurs s'ouvrir,
Toi que j'ai souvent cherché,
A travers d'autres regards,
Et si l'on s'était trouvés,
Et qu'il ne soit pas trop tard...
Entre vivre et mourir,
Qu'il faudrait bien pourtant,
S'arrêter de courir,
Toi que j'ai souvent cherché,
A travers d'autres regards,
Et si l'on s'était trouvés,
Et qu'il ne soit pas trop tard,
Pour le temps qui me reste à vivre,
Stopperais-tu ta vie ivre,
Pour pouvoir vivre avec moi,
Sur ton île aux mimosas,
Et comme deux chevaux,
Courant dans la prairie,
Et comme deux oiseaux,
Volant vers l'infini,
Et comme deux ruisseaux,
Cherchant le même lit,
Nous irions dans le temps,
Droits comme des roseaux,
Quand sous le poids des ans,
Nous courberions le dos,
Ce serait pour mieux boire,
Ensemble à la même eau,
Et si tu m'avais cherchée,
De soir en soir, de bar en bar,
Imagine que tu m'aies trouvée,
Et qu'il ne soit pas trop tard,
Pour le temps qu'il me reste à vivre,
J'amarrerais mon piano ivre,
Pour pouvoir vivre avec toi,
Sur ton île aux mimosas,
Nous aurions la fierté,
Des tours de cathédrales,
Et nous serions plus près,
Du ciel et des étoiles,
Nous saurions le secret,
Des aurores boréales,
Il y a si peu de temps,
Entre vivre et mourir,
Qu'il faudrait bien pourtant,
S'arrêter de courir,
Et prendre un peu de temps,
De voir les fleurs s'ouvrir,
De voir les fleurs s'ouvrir,
Toi que j'ai souvent cherché,
A travers d'autres regards,
Et si l'on s'était trouvés,
Et qu'il ne soit pas trop tard...