Et deux par deux, sans compter nos morts,
Qu'on laisse derrière des ébauches fanées, des secrets de carrière
Et trois par trois, dans nos cœurs essoufflés,
Des secousses se forment, on réfléchit plus tard, mais n'arrive faut rêver
Et je ne sais plus à quoi penser, c'est dur d'être libre comme toi
Et je ne sais plus à qui penser, c'est fini, rhabille toi
Et deux par deux, on avale nos mots
C'est dure d'oublier ce que l'on connais et ce qui imprègne nos peaux
Et trois par trois, nos cœurs d’la partie
On joue au couteau et on peut partager le même lit
Et je ne sais plus à quoi penser, c'est dur d'être libre comme toi
Et je ne sais plus à qui penser, c'est fini, rhabille toi
Et je ne sais plus à quoi penser, c'est dur d'être libre comme toi
Et je ne sais plus à qui penser, c'est fini, rhabille toi
Et deux par deux, on avale nos mots
C'est dure d'oublier se que l'on a connu, qui a imprégné nos peaux
Et trois par trois, nos cœurs d’la partie
On joue au couteau et on peut partager le même lit
Qu'on laisse derrière des ébauches fanées, des secrets de carrière
Et trois par trois, dans nos cœurs essoufflés,
Des secousses se forment, on réfléchit plus tard, mais n'arrive faut rêver
Et je ne sais plus à quoi penser, c'est dur d'être libre comme toi
Et je ne sais plus à qui penser, c'est fini, rhabille toi
Et deux par deux, on avale nos mots
C'est dure d'oublier ce que l'on connais et ce qui imprègne nos peaux
Et trois par trois, nos cœurs d’la partie
On joue au couteau et on peut partager le même lit
Et je ne sais plus à quoi penser, c'est dur d'être libre comme toi
Et je ne sais plus à qui penser, c'est fini, rhabille toi
Et je ne sais plus à quoi penser, c'est dur d'être libre comme toi
Et je ne sais plus à qui penser, c'est fini, rhabille toi
Et deux par deux, on avale nos mots
C'est dure d'oublier se que l'on a connu, qui a imprégné nos peaux
Et trois par trois, nos cœurs d’la partie
On joue au couteau et on peut partager le même lit