E Puisq B u'on ne vivra C#mi jamais tout les deux
Puisqu A 'on est fous, puisqu E 'on est seuls
Puisqu B 'ils sont si nombreux
E Męme la B morale par C#mi le pour eux
A J'aimerais quand męme te E dire
Tout ce que j'ai pu écr B ire
Je l'ai puisé ŕ l'encre A de tes yeux
E , Esus4 , E , F#m11
Je n'avais pas vu que tu portais des chaines
A J' trop en ou vouloir bliais l tout 'hyme oublier n
On ręvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand męme te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourir qui me l'a dicté
E E B B C#mi C#m A A E E B B
E A B E C#mi Esus4 A E E F# B m11
A , E , Esus4 , E , F#m11
Tu viendras longtemps marcher dans mes ręves
Tu viendras toujours du côté
Oů le soleil se lčve
Et si malgré ça j'arrive ŕ t'oublier
J'aimerais quand męme te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets
Et puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Męme la morale parle pour eux
J'aimerais quand męme te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé dans l'encre de tes yeux...