La Capitale me fait du mal
Elle s'amuse à me voir souffrir
Elle m'emprisonne, puis m'empoisonne
Me joue des tours pour que j'aie le spleen.
Privée d'horizon, je perds la raison
Et tous les rêves qui me guidaient,
Et c'est de la peine qui coule dans mes veines
Qui met en scène tous les regrets
J'envoie des Bons Baisers de Paris
Des jours fanés des nuits d'insomnies
Des maux, des Bons Baisers de Paris
Du manque d'air sur papiers jaunis
Des ballons éclatés par des griffes acérées
Du peu d'Amour du peu d'Amour
J'envoie du goût amer un désert sans mystère
Et peu d'Amour, si peu d'Amour...
J'ai peur des clones
Du train fantôme
De leur regard de condamnés
Et où que j'aille quand je déraille
Je me sens toujours comme surveillée
Douze mois d'hiver, un ciel sans lumière,
Et plus d'étoiles pour m épauler,
Où se cache la vie qu'on m'avait Promise
Vers quel chemin se diriger
J'envoie des Bons Baisers de Paris
Des jours fanés des nuits d'insomnies
Des maux, des Bons Baisers de Paris
Du manque d'air sur papiers jaunis
Des ballons éclatés par des griffes acérées
Du peu d'Amour, du peu d'Amour
J'envoie du goût amer un désert sans mystère
Et peu d'Amour, si peu d'Amour...
Ah, ah, ah, ah (bis)
La Capitale me fait du mal
Ah, ah, ah, ah (bis)
La Capitale me fait du mal
Ah, ah, ah, ah (bis)
J'envoie des Bons Baisers de Paris...
Elle s'amuse à me voir souffrir
Elle m'emprisonne, puis m'empoisonne
Me joue des tours pour que j'aie le spleen.
Privée d'horizon, je perds la raison
Et tous les rêves qui me guidaient,
Et c'est de la peine qui coule dans mes veines
Qui met en scène tous les regrets
J'envoie des Bons Baisers de Paris
Des jours fanés des nuits d'insomnies
Des maux, des Bons Baisers de Paris
Du manque d'air sur papiers jaunis
Des ballons éclatés par des griffes acérées
Du peu d'Amour du peu d'Amour
J'envoie du goût amer un désert sans mystère
Et peu d'Amour, si peu d'Amour...
J'ai peur des clones
Du train fantôme
De leur regard de condamnés
Et où que j'aille quand je déraille
Je me sens toujours comme surveillée
Douze mois d'hiver, un ciel sans lumière,
Et plus d'étoiles pour m épauler,
Où se cache la vie qu'on m'avait Promise
Vers quel chemin se diriger
J'envoie des Bons Baisers de Paris
Des jours fanés des nuits d'insomnies
Des maux, des Bons Baisers de Paris
Du manque d'air sur papiers jaunis
Des ballons éclatés par des griffes acérées
Du peu d'Amour, du peu d'Amour
J'envoie du goût amer un désert sans mystère
Et peu d'Amour, si peu d'Amour...
Ah, ah, ah, ah (bis)
La Capitale me fait du mal
Ah, ah, ah, ah (bis)
La Capitale me fait du mal
Ah, ah, ah, ah (bis)
J'envoie des Bons Baisers de Paris...