Mer de Glace et d'ombre
Plaine ou naquirent des Géants
Si loin des terres ombragées de jadis
Nos bateaux brisent la glace
Nos incantations écartent les orages
Notre regard plongé dans les royaumes d'ombre
Un seul oeil face a la mer
Cillant dans la lumière aveuglante
D'un passé qui nous fut volé
Par des etres de feu et de bronze
Par celui qui portait le chaudron
Et voulut combattre ceux qui commandent au froid
La nuit, je répète leurs noms comme une immuable litanic
Leur nom, le premier
Celui que les hommes jamais ne surent
Celui qu'ils auraient sans doute oublié
Le jour ou la fronde éteignit le regard glacé de mon père
M'est une blessure toujours ouverte
Scul a me souvenir de leurs tristes exploits
De jeunes dieux déja fanés
Un seul oeil face a la mer
Cillant dans la lumière aveuglante
La nuit, je répète leurs noms comme une immuable litanic
Leur nom, le premier
Celui que les hommes jamais ne surent
Celui qu'ils auraient sans doute oublié
Un seul oeil ouvert sur les débris des temps anciens
Je reve du fracas de cette unique bataille qu nous avons perdue
Et je vois
La lance et le chaudron déchiquetés par mille crocs de glace
Je vois le chene recouvert de givre, et son gland noirci par l'hiver
Plaine ou naquirent des Géants
Si loin des terres ombragées de jadis
Nos bateaux brisent la glace
Nos incantations écartent les orages
Notre regard plongé dans les royaumes d'ombre
Un seul oeil face a la mer
Cillant dans la lumière aveuglante
D'un passé qui nous fut volé
Par des etres de feu et de bronze
Par celui qui portait le chaudron
Et voulut combattre ceux qui commandent au froid
La nuit, je répète leurs noms comme une immuable litanic
Leur nom, le premier
Celui que les hommes jamais ne surent
Celui qu'ils auraient sans doute oublié
Le jour ou la fronde éteignit le regard glacé de mon père
M'est une blessure toujours ouverte
Scul a me souvenir de leurs tristes exploits
De jeunes dieux déja fanés
Un seul oeil face a la mer
Cillant dans la lumière aveuglante
La nuit, je répète leurs noms comme une immuable litanic
Leur nom, le premier
Celui que les hommes jamais ne surent
Celui qu'ils auraient sans doute oublié
Un seul oeil ouvert sur les débris des temps anciens
Je reve du fracas de cette unique bataille qu nous avons perdue
Et je vois
La lance et le chaudron déchiquetés par mille crocs de glace
Je vois le chene recouvert de givre, et son gland noirci par l'hiver