Cet air qui m'obsède jour et F nuit
Cet D#m air n'est pas né d'aujourd' A#m hui
Il vient d'aussi loin que je F viens
Traî D#m né par cent mille musi A#m ciens
Un A# jour cet air me rendra folle
Cent A# fois j'ai voulu dire pourquoi
Mais D# il m'a coupé la parole
Il parle tou D#m jours avant C moi
D#m Et sa C voix D#m couvre ma F voix D# C# C
Refrain:
========
A#m Padam...padam...padam...
Il arrive en courant derrière F moi
F Padam...padam...padam...
Il me fait le coup du souviens- A#m toi
A#m Padam...padam...padam...
C'est un air qui me montre du D#m doigt
Et je traîne après moi comme une A#m drôle d'erreur
Cet F# air qui sait F tout par A#m coeur
Couplet:
========
Il dit: "Rappelle-toi tes amours
Rappelle-toi puisque c'est ton tour
'y a pas d'raison pour qu'tu n'pleures pas
Avec tes souvenirs sur les bras..."
Et moi je revois ceux qui restent
Mes vingt ans font battre tambour
Je vois s'entrebattre des gestes
Toute la comédie des amours
Sur cet air qui va toujours
Refrain:
========
Padam...padam...padam...
Des "je t'aime" de quatorze-juillet
Padam...padam...padam...
Des "toujours" qu'on achète au rabais
Padam...padam...padam...
Des "veux-tu" en voilà par paquets
Et tout ça pour tomber juste au coin d'la rue
Sur l'air qui m'a reconnue
...
Écoutez le chahut qu'il me fait
...
Comme si tout mon passé défilait
...
Faut garder du chagrin pour après
J'en ai tout un solfège sur cet air qui bat...
Qui bat comme un coeur de bois...