Les Damnés :
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
L'alchimiste :
C'était en hiver
J'avais longtemps marché !
Les Damnés :
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
L'alchimiste :
Vois-tu cette pierre ?
Je me suis reposé !
Les Damnés :
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
La mort :
Pourquoi t'es-tu arrêté
devant le Pieux Ravin ?
Tu t'approchais de mon royaume
Qui sent si bon le chien
Et du fond de mes ténèbres
Alchimiste de cabale
Je chante l'oraison funèbre
De ta pierre Philosophale !
Le singe :
Taisez-vous ! je suis nu,
Et mon ombre prend la forme de la rue
tais-toi, je suis blessé
L'estaminet est fermé, je suis jeté !
Je veux voler, je veux voler !
Crever l'atmosphère
Et le ciel des damnés
Je veux voler, je veux voler
Afin que la terre ne soit plus mon oreiller !
Je veux crier, je veux crier !
De la gueule du Saint Père
Jusqu'aux tripes des putains
Que l'orphéon du Grand Magistère
N'est pas pour demain !
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
L'alchimiste :
C'était en hiver
J'avais longtemps marché !
Les Damnés :
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
L'alchimiste :
Vois-tu cette pierre ?
Je me suis reposé !
Les Damnés :
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
Bivouac !
Ô bivouac !
Ô bivouac, bon diou !
La mort :
Pourquoi t'es-tu arrêté
devant le Pieux Ravin ?
Tu t'approchais de mon royaume
Qui sent si bon le chien
Et du fond de mes ténèbres
Alchimiste de cabale
Je chante l'oraison funèbre
De ta pierre Philosophale !
Le singe :
Taisez-vous ! je suis nu,
Et mon ombre prend la forme de la rue
tais-toi, je suis blessé
L'estaminet est fermé, je suis jeté !
Je veux voler, je veux voler !
Crever l'atmosphère
Et le ciel des damnés
Je veux voler, je veux voler
Afin que la terre ne soit plus mon oreiller !
Je veux crier, je veux crier !
De la gueule du Saint Père
Jusqu'aux tripes des putains
Que l'orphéon du Grand Magistère
N'est pas pour demain !